Thérapie Mézières présentée par Jean-Marie Drouard
 
 

L’originalité de la méthode Mézières réside dans la mise en évidence de la responsabilité de l‘excès de force et du raccourcissement de la musculature lordosante dans les pathologies rencontrées en kinésithérapie : traumatologie, orthopédie, rhumatologie, neurologie, gastro-entérologie, cardiologie, gynécologie, phlébologie, rééducation respiratoire. La Méthode Mézières met en évidence le comportement en chaîne de la musculature lordosante.


J’ai rencontré Françoise Mézières en novembre 1973, à l’Ile d’Elle, elle m’a conquis  par l’investissement de sa personne dans son rapport avec le patient, sa passion de soigner et de soulager. Cette attitude non seulement « soigne » le patient parce qu’il se sent reconnu comme une personne et une personne qui souffre, mais de surcroît, ce positionnement construit le thérapeute, l’unifie.


Ce site s'adresse d'abord aux kinésithérapeutes qui pratiquent déjà la méthode Mézières afin d’amorcer ou de continuer un dialogue et un échange de points de vue, à ceux qui veulent en savoir davantage par curiosité ou avant de faire une formation, aux enseignants en kinésithérapie qui cherchent à exposer la méthode à leurs étudiants, aux médecins et aux paramédicaux et enfin aux patients.

En sachant que la formation à la Méthode Mézières passe par l’expérience d’être traité  afin d’éprouver ce que le patient ressent, afin d’évaluer sur soi les effets de la méthode, afin de rester ou de devenir plus souple pour que ses sensations ne soient pas assourdies par des douleurs ou des raideurs.



Jean-Marie Drouard

 

Méthode de kinésithérapie et de rééducation fonctionnelle posturale, globale, fondée sur les principes découverts par Françoise Mézières en 1947.

Ce site est réalisé par

Jean-Marie Drouard,

élève et collaborateur de Françoise Mézières depuis 1973, formateur depuis 1984


et le GISMM, groupe intetnational d’étude de la Méthode Mézières

© Jean-Marie Drouard

Le mal de dos n’est pas le mal du siècle, c’est l’erreur du siècle :

«nous ne souffrons pas parceque nous sommes insuffisamment musclés : nous souffrons parce que notre musculature postérieure est trop forte et trop courte».